les ailes de l'ange(suite9)

Anghia compris que ne serait plus jamais la même Odette, qu’avant leur arrivée dans sa vie.

La terrien laissa Foureau éteindre ses sens un a un.

La symbiose n’était pas pour autant moins totale entre les deux aventurières, seul le niveau de communication se transformait pour que l’une ne pâtisse pas des besoins de l’autre.

Complètement déconnectée, Anghia n’entendit ni vit la colère brièvement s’exprimer dans l’instant de vie du tueur, qui en ouvrait les yeux pour voir ce que foutait c’te pute juste au moment où il allait…

Anghia ne vit pas la peur bondir dans le corps du malheureux.

« Tu es mien, Maître. »

Le visage d’apparence féminine était d’une grande beauté, les pommettes hautes et cette bouche qui tenait du bouton de rose juste éclose, aussi rouge que le sang. Pascal Muller pu y voir briller blanche et expressive de carnassière origine, la dentition de cette créature  à la peau de serpent !

Le cri qu’il poussa mourut dans sa gorge. Non qu’il n’ai fini de crier, mais la main de la Wielvard enserrait sa gorge et pendant que la paralysie gagnait son corps, il vit la tête de la chasseresse se baisser sur son membre qui allait servir l’onctueux butin à la bouche redoutable. Il ne sentait plus son corps et donc aucun des soubresauts généreux dont se repaissait Fourreau, qui retenait entre ses crocs le gland épanoui de sa proie.

échappait aussi à Anghia La totale impression d’appartenance que ressentait l’ex-tueur

La Voix de Fourreau avait retiré à Pascal Muller tout droit sur lui-même. Jamais une voix n’avait rendu son esprit si disponible ; plus encore ! Cette voix, comme un animal domestique marquait l’homme.

Il marchait derrière ce corps de femme somptueux sans tirer sur la bride de cuir qui serrait le tour de sa tête, la selle posée sur son dos serrait ses flancs et tout de lui n’était qu’obéissance à cette main à la peau squameuse derriére laquelle  il avançait par petits bonds dans cette allée de terre qui traversait le campement de tentes de peaux. Des humains et des non-humains en sortaient pour voir passer leur équipage. Les cris de joie derrière eux indiquait à l’animal qu’il était suivi. Il pressa le pas pour frôler de la tête sa maîtresse. Le bout de ses ailes frémirent et sa langue allait et venait entre ses mâchoires fermées par la muselière.

« Ton sulfur, Maître. »

La bride changeât de main. L’homme au visage étrange posait son regard gris sur le front de ce qu’était devenu sous That l’assassin professionnel Pascal Muller.

« Ses crocs son intacts, Maître. Il est dressé pour le vol au combat ; sa fureur est digne de ta vaillance. La bride changeât encore de main.

Le visage d’enfant qui se montrait derrière les œillères grillagées sourit et libère d’une main habile la gueule en ôtant la muselière. Puis la petite main agitait les doigts sur la truffe et les glissa dans la gueule pour gratter la langue. Le sulfur montrait toute sa dentition de fauve.

« Je l’accepte. » La bête obéissait à cette petite main qui l’emportait vers les cages ou d’autres destriers ailés attendaient leur sulfiers. La femme à peau de serpent était repartie…

Fourreau-Odette allait plonger la main les doigts réunis en pointe dans l’anus de Pascal Muller, pour aller cher par l’intérieur les glandes qui contenaient le complément de nectar qui lui était nécéssaire pour vivre. Quand quelque chose sembla attirer son attention. L’homme paralysé ne pouvait que subir le sort qui venait de s’abattre sur lui.

La reptilienne se tire de la chambre et revient quelque secondes plus tard avec sur l’épaule le nécro et le jette près de lui puis elle reprend où elle avait laissé son ouvrage.

« Ta sagesse te garanti ma clémence, Maître. »

Simon Léandre, le nécrophile, assista sans broncher à la cueillette de la Wielvard.

 

 

Déconnectée de la scène épouvantable Anghia n’avait pas perdu un instant pour se rendre à l’aéroport.

« Sing-Sing ! » son cœur fut empli de sentiments multiples à la vue de celui qui faisait de sa vie une suite de moments heureux.

« Tu es beau, macho… » comme un long ruban argenté elle tournait autour du corps en mouvement qui suivait le long corridor ; précédé et suivi par un flot de passagers débarquant des vols à l’arrivée.

Invisible à tous, elle goûte de toute sa conscience la présence de celui à qui elle avait promis sa vie.

« C’est bon de te retrouver Sing-sing » La scintillante conscience d’Anghia nimbait le grand corps du rasta.

« Hum ! … Je sens que je vais me plaire ici » murmurait le jeune homme à qui un chaud courant parcourait la surface de la peau sous ses vêtements d’hiver.

« J’espère qu’elle aura une pancarte avec son nom ! » souriait-il en pensé.

« Elle est là, elle t’attend, laisse-moi t’amener à elle, macho… » Il n’entendait pas Anghia qui lovée tout contre lui prenait beaucoup de plaisir au contact de la personnalité du garçon.

 

 

Il ressemble à quoi, ton conteur ? … »

« Je te l’ai déjà dit, ce n’est pas un conteur ! »

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