les ailes de l'ange(suite6)

Luciana était si touchante dans son rêve de femme, avait l’air si heureuse de voir son mari la combler, elle serait peut-être rassurée sur son pouvoir de séduction envers lui.

« Je ne veux que te plaire, Charles mon amour, je ferais tout pour te plaire, mon amour, demande-le-moi, dit-moi ce qu’il faut que je change ! … »

« Que pouvait-on changer à la perfection ? » avait-il répondu pour lui-même.

« Tu es parfaite, chérie, ce n’est pas de ta faute. Tu n’y es pour rien… » Charly n’avait pas pu lui avouer la gifle brutale, qui l’avait couché professionnellement. Luciana devait ignorer que cela s’était produit. Il redresserait et tout redeviendrai comme avant, il pouvait tenir au moins trois ans au début à vivre sur le même standing… il avait presque réussit à six mois du délais fatidique et un coup nouveau le terrassait.

« Qui a t-il, Charles ? »

« Rien, mon amour. »

« Ca se passait bien, Charles, … Pourquoi ? »

Pas un mois sur deux ans et demi il avait déjà eu la subite envie de mourir quand sa libido le lâcha à nouveau à ce deuxième revers de la vie.

 

 

Charles d’Ambert était un grand monsieur ! Il avait cru, Charly, que cette branche d’orgueil allait le retenir, il y prenait déjà un appui ferme, mais la branche avait cassé net sous le poids excessif  de l’amour qu’il portait à son épouse. Elle céda d’un coup quand ce salaud était revenu du boudoir ou il avait été se changer, et qu’il exposait à Charles d’Ambert de quoi rester sur le carreau, la libido en bouillie ! Les échancrures de ce maillot noir sont si profondes et si pleines de vitalité ! … Charly avait vu Luciana s’appuyer au mur derrière elle, et rester un moment comme hébétée.

Charly constatait l’effet sur son épouse, de ce qu’il lui offrait… certainement cent trente kilo de masculine majesté, de charpente et de muscles ! La puissance mâle qui impose l’instinctif respect. La présence virile dans l’équilibre volume des masses et la souplesse du geste… et ce sourire à son intention… ____ La branche avait cédé et le cul de Monsieur d’Ambert arrivait brutalement sur le dur sol de la réalité.

Un grand monsieur ? ___ Pour le croire Charles d’Ambert aurait dû être le mari de Luciana, il aurait dû aimer la voir ainsi soufflée par la beauté physique de ce garçon lui caresser les bras, la frictionner chaudement et lui chuchoter du fond du cœur… « Je suis content qu’il te plaise, mon amour. » Aimer Madame d’Ambert pour lui prendre la main et la poser sur ce corps d’homme en lui disant : « Je t’aime, Luciana. » L’aimer au point d’apprécier avec elle, l’accompagner sur la beauté de ce garçon, lui dire que l’étincelle dans ses yeux le comblait, le bouleversait de bonheur… ____ mais Charly le grand n’avait pas ce genre d’amour pour Luciana.

Elle était seule devant le jeune homme, appuyée au mur, discrètement elle avait laissé ses épaules la soutenir et sa poitrine se soulever pleinement ; long inspir de femme, longue promesse d’appartenir… __ Charles, comme ce gamin dans la cour d’école qui cogne de rage des points et des pieds l’écorce du vieux marronnier, ne savait ou trouver la ressource pour sourire. L’élégance, la classe qui se paie avec l’or de la vie, ce trésor dont il n’avait  une once sur lui  à cet instant  comme auparavant; devant ce garçon qui avait enfilé le pantalon de cuir souple et ces bottes noires à bout rond pour plaire à Luciana…

Avait-il besoin de cela ? ! ____ L’excessive émotion de jalousie qui avait bondi sur les épaules de Charles d’Ambert comme un fauve surgit de nulle part, pour coucher l’homme sous ses griffes et ses crocs ! …

Charly eu envie de virer ce gigolo, mais savait qu’il ne pouvait plus reculer.

La branche devait tenir le temps au moins que ce petit con fasse son boulot de prostitué, et qu’il dégage ! ___ Charles sur les quais regardait l’eau noire refléter les lumières de ses berges et la victoire éclatante des sept glauques… unis dans leur violente chasse à l’humain ; sur les mondes lourds

 

 

 

Je vais te crever, merdasse ! Le pied à la botte Western couverte de l’alpaga noir du pantalon de l’homme plongeait dans le corps plié au sol. La femme émis un hoquet, puis s’amollit sur la moquette rouge. La santiag retourna le corps inerte sur le dos. de la prostituée

 long et fin, vêtu de court sous le manteau de fourrure clair, abandonnait ses charmes. La blancheur de la peau et les traits élégants de son visage sans personnalité… à l’américaine

« J’ai fini par t’avoir, salope ! … » Aucune trace de coups ne marquait le visage. Pascal Muller avait pris soin de ne pas marquer. L’ex-adjudant de l’infanterie de marine, l’ex-tueur professionnel connaissait son boulot.

 

« Plonge, maîtresse. » Fourreau choisissait l’instant pour investir le corps de la malheureuse. Au passage Anghia perçu clairement près d’elle une présence, un témoin de leur arrivée dans la semelle du Thalla,… les monde lourd,… la terre, … le corps de cette fille. Le chatam les regardait. temporairement il avait relâché ses liens avec le corps et son subconscient, il semblait satisfait de voir une entité telle que Leptika tirer profit de la situation extrême à laquelle il était confronté. Anghia ne s’interrogeait plus a propos des accords effectués dans le thalla Fourreau lui avait dit déjà que les arrangements de ce type était les plus souhaitables et se concluaient à des niveaux supérieurs du Thalla par le « Firmal », mot que Anghia avait compris intuitivement comme une affinité existant à ces niveaux entre les entités de même nature. Une étincelle est la durée qu’avait du connaître la « signature du contrat »

Le corps dont venait de prendre possession les aventurières n’avait pas encore été mis totalement hors service, mais méritait de rapides interventions. Les douleurs qui se précisaient à la concsience du binôme prouvaient à la terrien et à la Wielvard que Leptika avait pris possession du corps jusqu’à ce degré, au moins.

jusqu’à pouvoir utiliser les capteurs couramment utilisées pour permettre à la femme de vivre sur ce monde de façon autonome. Les fonctions de réflexion étaient réduites à leur plus simple expression, mais la mémoire était intacte. Fourreau tout en l’ouvrant pour qu’Anghia puisse y trouver le nécessaire à la suite de leur actions, lançait le subconscient de la victime à la restauration des fonctions atteintes par la sauvagerie de ce maître.

La palimonte avec sa vélocité habituelle entraînait à ses ordres cette conscience réactive à justement réagir. L’hemoragie interne qui venait de se déclarer se réduisit en quelques secondes.

L’homme retourna la femme face contre terre sur le sol au linoléum rouge du mobil home stationné dans ce camping à une vingtaine de kilomètres de Forbach, … de Sing-Sing.

Anghia analysait ce qu’elle percevait venant de l’homme. Elle l’entendait sans le voir, le visage tourné face au sol, Odette restait inerte.

« Tu vas encore servir, sale pute ! » Il établissait une liaison avec quelqu’un par téléphone, Anghia concentrée sur le ton de la voix et le contenu du propos, pour fournir à Leptika tout ce qui pouvait être à leur disposition pour manier cette situation de la façon « idéale… » la seule façon d’agir pour cette entité d’énergie double.

« Ribot , j’ai ce que tu aimes, … tout       , magne-toi si tu veux manger chaud_____ une demi-heure ! Bon, c’est toi qui vois ! »

Il interrompait la communication en marmonnant « Putain de nécrophile.. j’sais pas comment il fait ! … » ce disant il quittait la pièce tendue de velours  froncé.

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