les ailes de l'ange(suite8)

L’étonnement qui venait de s’emparer du meurtrier lui faisait ouvrir de grands yeux ronds et figeait son corps trapu sur le pas de la porte qu’il allait franchir.

De retour dans la chambre, avec en tête l’idée de déposer le cadavre de la pute sur le lit en attendant l’arrivée de ce putain d’nécrophile . Ses doigts se crispèrent sur le corps spherique du verre de cognac qu’il tenait.

« Mais… tu n’es pas… ? »

« J’ai aimé ta force pour me dire que je ne suis rien d’autre qu’une chose à ta disposition. Tu veux encore me caresser avec tes pieds ? Ou honorer ma vie avec ta puissance d’homme ? »

La pute commençait à faire bander Pascal Muller ; qui, l’étonnement passé, recevait à cause de cette éponge à mecs une grosse envie de baiser…

Il allait tuer Odette, mais après ça !

Les doigts de la femme en se posant sur les cuisses de l’homme lui transmirent plus de désir.

« Tu vas sucer, et bien t’appliquer ! » Le ton rude qu’il employait traçait dans la Drell de longs éclairs d’envie. La vulve d’Odette commençait à se huiler…

« Ton glaive d’amour est prêt à tailler dans mon corps, je saurais lui être tendre et donner à ta lame d’homme toute sa raideur… »

Anghia-Fourreau-Leptika-Odette, emmenée par la femelle-piège qu’était la Drell, tirait sur les jambes du pantalon.

L’homme s’était allongé sur le lit rond couvert de satin rouge ; il attendait que la prostitué lui donna satisfaction ; il était sur un nuage de supra féminité.

Tous les gestes que faisait la femme, lui déclarait à quel point elle le trouvait viril.

Sous le charme et les caresses de cette femme qu’il avait laissée pour morte quelques instants auparavant, il était devenu si rigide, si excité, qu’il s’en étonna presque !

« Tu vois comment tu m’fais bander ? Tu vas dérouiller méchamment, salope ! »

Anghia ressenti soudain venant de Fourreau, un fort élan ; il parla en même temps que la reptilienne à la conscience du trans.

« Ta servante a besoin du rituel, maîtresse. » La terrien su alors, pourquoi Leptika avait choisi ce corps d’Odette pour les abriter le temps qu’Anghia retrouva celui qu’elle appelait affectueusement Sing-Sing : apporter à la guerrière reptilienne du monde sous That ce qu’exigeait sa constitution wielvard…

« Je l’emporterai dans le royaume de Foya pour le rituel, Maîtresse. »

« Je ne veux rien voir, Fourreau, rien sentir… Pas prête à cela… pas encore… Pardonne, sœurette, et merci de l’emmener dans le gynécée, par égard pour moi. »

Anghia en voyant les bourses de l’homme offert au plaisir par la Drell science d’amour, était néanmoins ravie pour la Wielvard.

La lourde besace virile sous le pénis en érection complète promettait un rituel riche en ‘essence’.

Embusquée derrière la volonté de la Drell, Fourreau observait la production de nectar.

D’une bouche experte la femme piège installait le meurtrier dans les grâces de Lambium.

Il s’abandonnait maintenant aux caresses affolantes de la prostituée qu’il avait enfin retrouvée, et qui était commandité pour la faire taire à jamais !

L’homme vida le verre qu’il n’avait pas lâché, le cognac avait atteint la température idéale pour Pascal Muller. Il le tendit vide à Odette, qui le rempli de la grappe velue, tout en massant l’extrémité gonflée de la hampe dans son poing humide de salive. Le regard baigné des eaux étourdissantes du stupre elle épiait la présence du plaisir sur le visage du tueur.

« La salope ! … » rugit l’homme dont les reins répondaient par de longues contractions qui cambrait tout son dos.

Puis il vit Odette lui rendre son verre et goûter le pochon parfumé à l’alcool, léchant à grand renfort de grognements satisfaits et de bruits de langue.

 

Le string glissait sur le coté, poussé par l’index à l’ongle rose qui brillait, englué de salive recueillie aux lèvres de la baigneuse.

Anghia ferma les yeux, … ceux très concentrés de la guerrière du gynécée qui redevenait  la chasseresse, observaientt les résultats du rabattage de la Drell.

L’homme émis un long gémissement. Venu du fond de lui il passait entre ses lèvres minces. Lui aussi fermait les yeux sous la caresse huilée que recevait son extrémité sensible.

Odette l’avait fait glisser dans la bouche chaude de la baigneuse et les rondeurs mouvantes de son paysage exprimaient aussitôt à l’homme l’accueil chaleureux de ce blond terroir. L’entrée dans la bouche de la baigneuse fantastique qui referma  ses lèvres sur la peau fine du pulpeux brugnon pour le frotter avec son tapis de chair, dont la rugosité grassement mouillée éprouvait rudement la sensitive extrémité masculine.

La longue déglutition vaginale qui s’ensuivi ne prit fin que lorsque Pascal Muller fit la connaissance élastique du fond amoureux de la Drell et de son doigt suspendu ; suspendu comme l’était l’homme aux attentions affectueuses d’Odette. La féminine excroissance explorait le bord de l’attache du fruit mâle à sa tige ; une ronde étroite des hanches, des hanches de ….

«La salope ! »

bloquait les reins de l’homme un long moment.

Fourreau attendait le moment de bondir sur la proie.

« Je vais endormir tes sens, Maîtresse. »

Odette faisait saillir les muscles fins de ses cuisses quand elle recommença l’ondulante ronde suspendue pour ne masser à nouveau que l’apex charnu du viril outil de chair et à nouveau se laisser tomber en serrant comme dans un poing  la raideur, jusqu’à sentir s’écraser sur les lèvres de la baigneuse la fougère de l’homme. Le frottant presque jusqu’à la douleur sur le rebord excédé du fruit gonflé, mûr ; une caresse du col pressante et glissante à la fois. Précis comme une pointe de langue dans la chaleur d’une viscosité grasse. Accueil de la tropicale nature du femme continent…

« Tu vas me vider les boules ! … Pompe à foutre ! »

« L’honneur que me fait cet aveux me rend plus amoureuse de toi. Etre ton soulagement, réduire la dure détresse que j’ai éveillé en toi, je me fais pardonner ma gourmandise… »

« C’est la saison pour la Wielvard cueillette, Maîtresse. »

« Dommage… » Anghia n’avait aucune distance avec Odette, aucune distance avec les sens de la Drell. Elle s’était laissée porter à la formidable ruée de ce que la Drell science d’amour, révélait à la conscience d’Odette. La mémoire de la jeune femme aspirait goulûment ce que vivait son corps.

Anghia compris que ne serait plus jamais la même Odette, qu’avant leur arrivée dans sa vie.

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