les ailes de l'ange (suite4)

Altus à ce moment vivait, cette femme ;

 ce qu’elle était dans l’instant. Il sentait sa douceur aimante disponible, offerte, il voyait sa sensible touche d’enfance, la fragilité de sa femme assurance, et là au fond la tristesse, une pleine poche de larmes ; qu’il allait, qu’il devait faire jaillir pour le compte du bonheur…

Il avait joué à ouvrir la cage, avait joué avec la femme jusqu'à en faire jaillir … la femelle.

Au moment où il s’était levé, debout sur le lit, écartant les jambes juste ce qu’il fallait pour qu ‘elle puisse s’y glisser en frottant sa peau nue sur les cuirs. Il n’avait plus rien dit, juste une tension brusque de son pénis et un gonflement jusqu’à la brillance de son gland, avaient parlé à sa place à Madame d’Ambert.

Il avait lu dans le bleu violet, l’aveux femelle et combien elle allait être sa femelle

Maintenant les yeux fermés, Altus savourait ce que la femme de Charles lui offrait d’elle, l’anneau doux de Luciana portait encore l’empreinte et sa mémoire renvoyait sans cesse la femme à cette pratique  inhabituelle, à laquelle elle accéda presque suppliante et qui avait produit en elle une violente montée vers le  plaisir. L’excellente préparation de sa soyeuse annelle l’avait électrisée du désir de la sentir encombrée par ce membre dont sa bouche avait bien du mal à contenir le gland.

Puis après une visite longue et trapue Altus sorti lentement, glissa doucement son sexe laissant à la femme la réelle impression d’être ouverte et lippue entre ses globes encore secoués de tressaillements tremblants de tant de plaisir. Il s’allongea près d’elle, et d’une main caressante passait sous les cheveux noirs, massait la nuque doucement…

« Je me sens femme, Altus, si femme ! » Le garçon les yeux fermés écoutait monter les larmes dans la poitrine de Luciana.

« Je l’aime, Altus ! …. Je l’aime ! » Elle fondait d’un énergique sanglot, se tournant pour placer son visage dans le cou du garçon. Il la coucha sur le dos… Elle ne voyait pas le sourire rayonnant qui éclaircit son visage.

« Ferme les yeux, Lucie… »

Les bras autour du cou massif de cet homme, Madame d’Ambert, le visage noyé de chaudes larmes se senti prise sans ménagement.

L’attention fixée sur toutes les réactions de la femme, le regard englobant le corps et tout ce qui apparaissait dans son champ visuel, tout à l’écoute de ce femme univers qui se répercutait en lui par ses sens et sa fine intuition. Altus cherchait la parfaite communion avec Luciana.

Sans tâtonner, il entrait en esprit avec ce qu’était la femme sous lui ; il sentait son cœur se fondre dans la féminine actualité de Madame d’Ambert. Altus s’ouvrait à elle autant qu’elle se sentait ouverte. Autant qu’il ouvrait cette femme avec le pilon de ses cuisses d’homme. Il la recevait comme une épouse aimée, chérie, puis ferma ses sens à tout ce qui n’était pas Luciana. Chaque frisson de Madame d’Ambert était perçu par le garçon. Altus n’était décidément pas venu tirer un coup avec cette femme. Il n’avait aucune envie d’en finir avec un goût d’à peu près au bord de l’âme.

Le jeune homme athlétique avait joué avec l’envie de plaire, d’être désirée physiquement, qui était devenu un piège pour Luciana. Il s’était refermé sur elle en un déclic provoqué par son époux, par la faiblesse de son désir d’homme ; faiblesse soudaine qui incita le doute à mordre longuement la belle Luciana. Elle était piégée et s’épuisait à en sortir avec l’aide inutile de son flaccide époux. Altus avait ouvert la trappe et Luciana déployait ses ailes !

D’une poussée franche Altus emplissait le ventre doux et glissant de Madame d’Ambert. Il plongeait gorgé, tendu jusqu’au cœur des larmes de la femme sous lui. Contractée elle sentit l’hommage l’ouvrir, la fendre longuement ; jusqu’au fond ! Puis elle se sentit soulevée et dû se retenir au cou du garçon qui la maintenait les cuisses posées sur ses avant bras ouvrant ses fesses à deux mains, puis comme si elle n’avait pas plus de poids qu’un oreiller de plumes, la faisait glisser sur son membre ; la soulevait et la faisait descendre à nouveau la poussait de droite à gauche…cependant que ses fesses musclées donnaient par leur contractions un tempo rapide 

Dominée de spasmes à l’anarchique tempo, la voix dans le rauque, imposé par les grelottantes giclées de plaisir qui par vagues bruissantes voyageaient dans tout son corps, Madame d’Ambert livrée au puissant et délicat garçon, bondissant maintenant d’un pôle à l’autre du bonheur physique ; de la douceur caressante, à l’électrisante stimulation.

Altus percevait  que  la tension qu’il imposait par sa présence plus qu’encombrante dans le vagin de la belle Luciana, n’était qu’un détail et que le degrés d’excitation produit par le jeu de ses muscles fessiers était  le  facteur décisif à la pleine réussite de ce moment d’union charnelle…brièvement il remercia le créateur de cette façon aussi simple que nouvelle d’apporter du plaisir à une femme. Il avait voulu embrasser Danoël lorqu’il comprit que son complice en tout depuis si longtemps venait de lui faire découvrir ce qui manquait de tous temps aux hommes et aux femmes   

« Altus ! … qu’est ce que… j’ai ? »

« Tu vas jouir, Lucie. » Il cessa de remuer la femme sur son sexe, pour lui-même entreprendre le mouvement d’un bassin souple engorgeant son pénis au maximum, il la tenait fixement suspendue, et laissa son ressenti guider ses mouvements. Les fesses athlétique du garçon ajoutérent une vibration au tempo qui  s’exprima moins fort mais toujours présent

« Altus ! … » Elle renversait la tête accrochée au cou puissant comme à une bouée de sauvetage.

Il la regardait jouir, glissait son gland dans la gaine sensible, variait l’angle pour aller plus profond et ramenait rapide et précis pour la caresser du bord saillant de ce gros fruit qu’il faisait vibrer sous la paroi antérieure de la voûte huilée ; là où il savait que Luciana aurait les sensations les plus fortes, il provoquait les spasmes qui condamnait plus encore le conduit déjà déprimé par le retrait rapide. Qu’il ouvrait à nouveau d’un long et ferme geste des reins appuyé d’une pression saccadée de ses fesses poussant jusqu’au cœur des cris de Madame d ‘Ambert, pour revenir tout aussi rapide et diaboliquement la foudroyer.

… L’orage du plaisir ! l’orgasme.

Le premier véritable orgasme de Luciana ; cueillit dans ses larmes, mangé énergiquement par des fessiers  gourmet, vifs, attentionnés… plaisir de femme provoqué en toute sérénité par ce garçon aux allures macho voyou.

« Merci, Lucie… » murmurait-il, murmure couvert par les cris de bonheur de Luciana d’Ambert, fusionnant avec sa chair heureuse, au sommet du plaisir.

 

 

 

 

« A quelle heure est votre avion ? »

« Vingt et une heure »

« Oh ! oh ! » L’intonation inquiète du chauffeur fit dire à Danoël 

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