Dimanche 18 novembre 7 18 /11 /Nov 07:44

 

 

L’hexagonale du fou

 

La grande étoile de feu, plongeait ses doigts de lumière, dans le miroir d’eau de la lagune.
La crinière chaude du souffle de la terre caressait la surface offerte de ma peau. J’étais nu sur les planches disjointes flottant vers un avenir encore incertain. Derrière mes paupières piquées de sel s’étendait un rouge rideau. J’étais affamé, et faible ; comme dans la main d’un enfant l’oiseau blessé qui se pelotonne.
J’attendais que la vie décide de la suite, qu’elle donnera à mes jours.
J’avais au fond de la gorge, un gout de sel et de passé qui nouait ma harpe, toutes ses cordes avaient envie de vibrer, se détendre dans mon souffle , et mes oreilles d’écouter la mélopée monotone du poète guerrier Khol.
Et me revient la légende, la légende souvent contée…, par cet être étrange , aux allures de scarabée, dont la voix aux cristales franges , à ma mémoire revenait
Je chante, je chante tes longues campagnes, ces rencontres qui pour toi comme des fêtes où de tout ton être tu te jetais ; Seul comptait pour toi le but fixé par d’autres, et que tu faisais tien.
Je chante mon ami et ma mémoire me lance des appels de survie :

« La quête des Khols guerriers ».
Remontant le courant depuis plusieurs jours,

 l’eau nous glaçait le sang, et nos nuits étaient courtes
Le feu que nous avions, brulait au fond de nous
Par lui nous avancions cela faisait trois jours
Nous avions une mission, trouver les perles noires
Que cachait Cupidon au fond de ses armoires
Nous étions deux guerriers des sombres territoires
Qui avaient guerroyé tout au long de l’histoire
De notre peuple ardent vivant sur les arpents
De Maitre Tabaladoir.
Nous étions deux frères, avant nous étions trois,
Mais l’existence guerrière décide et fait ses choix .
Avant nous étions trois… – cela faisait trois jours
Que nous nagions dans l’eau de cette rivière.
Remontant le courant, que nos doigts étaient gourds,
Ils nous semblaient de pierre. Dans le lit encaissé
Par les hautes falaises des erres abandonnées
Hier vivait là-haut le peuple des falaises
Dans ces grottes creusées dans leur flanc de calcaire.

Mais ils sont tous partis, et depuis bien des lustres
Ont quitté leur vie frustre, pour suivre l’épidémie
Qui sur ce peuple rustre avait pointé son doigt.
Ils dominaient la rivière, faisaient payer des droits
Aux chalands qui naguère naviguaient dans l’étroit
Ravin aux murs de pierre ; c’était le seul passage
Parmi ces folles contrées qu’il n’était pas sage
De traverser à pied.
A l’est sont les terres arides et dévastées
Des femelles guerrières au cœur d’oiseau de proie
Dont elles ont les manières jusqu’aux plumes sur les doigts.
L’ouest aux forêts profondes, est la terre des burgondes
Qui vivent dans ces bois, se nourrissent de
la chair
Des victimes des combats qu’ils livrent par derrière
Courant sur leurs trois doigts, leur pays pénétrait
Les sombres territoires.
Mais mon peuple ils craignaient, l’affronter dans l’obscur,
A leur pertes les menaient, les Khols à la peau dure,
Les auraient liquéfiés ; nos souffles font des brulures
Qui transforment en liquide les matières les plus dures.
Aujourd’hui bien avant que That la vieille étoile
Qui éclaire tout de rouge notre immense paysage
Ai retiré la toile d’ombre sur son passage
Deux braves guerriers Khols seront devant les portes
De la grande cité Khala, la cité du songe des rois .
Ils pousseront les portes de la grande cité Khala
Ils y verront des êtres faits de toutes sortes
Mais eux seuls seront Khol ,dont le peuple seul est le maitre
Des sombres territoires.
Ils iront au palais brillant du Prince Cupidon
Réclamer que séant à eux il soit fait don
Pour les sombres territoires, l’écrin de capiton
Où dorment les perles noires qui reviennent de droit
Au trésor des terres noires.
Quand nous entrons en ville, poussant de lourds battants
Et d’épaisses grilles, les gens furent pris d’effroi
Voyant nos carapaces citées dans leurs légendes,
Et l’allure de nos faces inspiraient une peur grande
Aussi faisait-on place , ouvrait–on le passage
Aux guerriers Khols qui venaient chercher là l’héritage
Tenu par malfaçon ce qui faisait outrage
A nos sombres barons.

Le palais qui servait de repère au voleur
Se tenait en haut lieu.
IL flotte au-dessus des tarans où se mirait le grand that
Aux rayons écarlates, les ailes grandes ouvertes
Tel le faucon crécerelle. Nous trouvons une ferme
Dans les plaines dorées , et prenons des salermes
Aux ailes mordorées. . Dans leur envol puissant, vite
Le sol s’éloigne des pieds des guerriers Khols
Le vol des salermes nous emmène bientôt
Au -dessus du château du vil Cupidon
Il dessina des ronds pour descendre vers
Les ponts de blanches pierres du palais,où tels des furibonds
Nous sautons pied -à - terre ,
Et courons pour ouvrir les grandes portes de verre,
Du très vaste repère

En courant vers les salles
Croisant de belles vestales
Que bien sur nous effrayons
Le regard plein de flammes
Tous deux nous récitons …
Quelques phrases qui riment
Là au fond de mon âme
Ne saurait être un crime
Mais une ode à ton charme
Qui tel un parfum suave
Arrache plus que
la dîme
A mon cœur qui se pâme
Il joue à face ou pile
Ne trouvant que le calme
Pour finir comme
la cime
Touffue des arbres à palme
C’est là qu’il s’acoquine
Avec l’aigle géant
Dont les serres cristallines
L’emportent au néant
Quelques phrases qui chantent
Pour honorer encore
Ce sourire qui me hante
Me pousse par- dessus bord
Pour trouver âme errante ..


Le courage tout d’abord
Parmi les déferlantes
De vouloir vivre encore
Oublier sur leur crête
Une vie sans importante
Car banni de
la fête
Que lui inspire ton corps
Quelques phrases qui résonnent
Pour que les ailes d’un ange
D’un vol compatissant
M’aide à passer
la frange
Qu’un désir agissant
Trace de façon étrange
Au creux de mes reins khols
Des mots mis bout à bout
Et qui forment ramage
C’est comme un bruit qui court
Dans mon esprit volage
Qui use de tant d’atours
Pour te rendre moins sage
E que tu abandonnes
A mes eaux ta carène.
Oublie dans mes remous
Les sinistres rivages
Le long des courants fous
Et au chant des baleines
Tes yeux dans mes nuages
Jusqu’aux calmes bayous
Que ton léger sillage,
Comme les pieds d’une reine,
Les eaux fera danser
La brise de ton haleine
Chaude dans l’air du soir
Me souffle des mots chantés
Qui font renaître espoir
D’un rêve qui m’enchaîne
Je m’entends murmurer
Un jour prochain
la belle
Avant qu’il soit trop tard…

Les prêtresses rassurées sur nos mâles faiblesses,
Comme tempête nous entrons où était au banquet
Cupide et compagnons, ses alliés, ses amis, ses frères
Assis, vautrés, surpris, mais n’en laissant rien voir
Des nectars fabuleux ils buvaient aux ciboires
Rapinés aux mondes des humains qu’ils abhorrent .
Ils sont là ensembles, ils baffrent et se repaissent
Des mets mystérieux ramenés de
la terre
Où ils règnent heureux, d’un règne grand et prospère
Parmi des malheureux, le rêve dans les entraves
Où ces monstres hideux les tiennent en esclavage.
Les voilà tous présents autour de Cupidon
A sa droite corps de femme agitant petite queue,
Face de crocodile allongée voluptueuse, je vois
Revêtue de pierreries
la reine Luxuria.

Sur sa gauche, épaisse, gourmandise se tenait
Sur ses énormes fesses, sa bouche se remplissait
A n’en plus rien tenir, ses yeux se révulsaient
Elle était au plaisir !

Pour que tous se distraient la terrible Quo-l’-Her
De loin manipulait deux prisonniers de guerre
Se battant pour la joie des puissants émissaires.

Dans un coin du banquet, Ava-Rice doigts-crochet
Remplissait un grand sac qu’elle tenait dans son bec.

Vanity se montrait à qui voulait
la voir
Très fière se tenait, étalant son pouvoir
Sur une humanité qu’elle avait su asseoir
Par le « moi » paltoquet.

Paresse se laisse nourrir, des valets parcimonieux
Lui donnent la becquée, en faisant de leur mieux
Pour ne pas la presser, lui évitant l’agir.

Envie faisait le tour du propriétaire, l’œil en coin
Caressait les velours tendus des lampadaires avec soin,
Les contours des miroirs, marqueterie des armoires,
Les sept calamités bourreaux du monde bas
N’ont pas la possibilité d’envahir
la matière
Ni les animaux
Vivant aux trois niveaux
Ils soumettent le plus noble
D’une façon hardie
C’est dans le cœur des hommes
Qu’ils se sont établis
Ce sont eux qui leur donnent
Leurs plus belles prairies
En échange ils reçoivent
Les tortures les pires

Cupidon les reçoit
Au sein de son Empire
C’est pour cela qu’il doit
Connaître le « bannir »
Et rendre aux perles noires
Le chemin du partir.

Les khols viennent quérir
Aux cours de son palais
Sans le laisser choisir
La joie ou les regrets,
Il devra leur offrir
Les perles d’obscurité.

Quand nous tapons du pied
Il nous tend la clé d’or
Mon frère va
la chercher
Et court ouvrir le coffre
Où se trouvent enfermés
Les joyaux du Grand Sort
Les lois de vie et de mort.

Les sept nous épient
Ils savent que sont comptés
Pendant un court répit
Toutes leurs calamités
Car les Khols leur ont pris
L’essence de liberté.

Bientôt sur le bas monde
Ils vont perdre des terres.
Déjà leur face immonde
Reçoivent des larmes amères
Tabaladoir qui gronde
Est comme une prière.

Par deux fois Il a fait
Le charnel voyage
Deux traces dans le ciel
Deux fins et longs sillages
Traçant sa ferme ronde

Il venait au bas monde
Pour y trouver ses pairs
Les sept ont pris
la fronde
Lui ont jeté des pierres
Puis l’ont pris dans leur ronde
Sans faire plus de manière..

Les sept ont fait butin
De son âme des lanières
Pour fouetter les mutins
Sur le sol de la terre,
Tabaladoir qui geint ,
C’est comme une prière.

C’est l’aîné de justice
Amant de liberté
Qui est pris aux caprices
Des viles entités
Il subit les sévices
Parmi l’humanité.

Son cri a résonné
Du pic de
la folle
Aux plaines de l’inquiété
Alors deux guerriers Khols
Ont été désignés.

L’eau de Tabaladoir
Doit cesser de couler
Les perles en terre noire
Doivent être regroupées
Le juste au désespoir
Saura les y trouver.

Les sept vont se reprendre
Cupidon va payer
Son royaume va dépendre
De leur bonne volonté
L’amour qu’il sait répandre
Lui sera retiré.

Luxuria va lui prendre
Et va le distribuer
Aux six autres scolopendres
Qui rampent à la curée.

La terre voit se répandre
De l’amour pollué.
Des cœurs se feront prendre,
D’autres seront épargnés

Cupidon le fauteur
Perdra ses attributs
Il n’aura plus d’ailleurs
Que la peau sur le cul
Et connaîtra l’horreur
De n’être reconnu
Que comme le serviteur
Des sept glauques tribus

De l’infâme partage
D’ignobles rejetons naquirent
Sous les nuages

Amour et gourmandise
Mirent bas l’obsession

Amour et paresse
Créèrent monogamie

Amour et colère
Accouchèrent de passion

Amour et vanité
Firent naître exhibition

Amour et avarice
Enfantèrent grande misère


Amour et luxure
Présidaient
la grand Messe

Amour et envie
Eurent leur fille Adultère

Les Khols s’éloignent maintenant
Du palais aux ailes silencieuses
Nous volons au That couchant
Vers le repaire de la visqueuse.
Les collines au firmament
Le pied plongeant aux vallées creuses
Se noie aux brouillards ardents
Que crèvent les grèbes rieuses.
De longues volutes couleur sang
Roulent aux pentes sablonneuses
Les salermes au vol puissant
Contournent les collines d’Hersé
Et plongent nous emportant
Dans les nuées rouge brillant.
Ils suivent les vallons boisés
En recevant les directives
A la source de
la pensée
De mon frère qui les dirige.
A la visqueuse je me prépare.
Les perles dans mes reins érigent
Le désir tel une barre.
L’oracle dont le ventre afflige
Aux curieux des sévices rares,
A l’idée folle les oblige.
Savoir les teintes de l’avenir
Entraîne le mâle en ses pouvoirs,
Les survivants à ses étreintes
Sont ceux que les perles noires
Ont libéré des contraintes
Du plaisir de savoir.

Les salermes souples se posent
Quelque part entre les arbres
Et voient au regard morose
Qu’à l’un d’eux, on les attache.
Nous humons la face en l’air
Cherchons l’oracle odeur.
Dans cette étrange atmosphère
Se mêlent l’humide et la chaleur.
Les résines des conifères
Suintent, comme les salermes,
la peur
Nous marchons regardant le sol
Espérant y trouver
la trace
Qui indiquerait aux Khols
L’approche du gîte de la salace.
Soudain nous entendons le rol
De la voix qui transperce
Les plus solides carapaces.
Iroda attire les viscères
Le mental comme dans un sac
Est contraint de se taire.
L’attirance tel un cornac
Me pousse, j’abandonne mon Khol frère
Tandis que se bande mon arc
Je me dirige droit au repaire
De la copulation fatale.
A flanc de colline, une entrée
Porte faite d’omoplates
Gigantesque et sculptée
Ossements de Kerg géants
Venant des territoires glacés
Peuplade qui vit sous le vent
Glacial hiver comme été
Les bas -relief dans l’os
Montrent Iroda, dans l’art de jouer
De la flûte de nolosse
Faite de verges dressées.
Et autour d’elle des corps
Des races sous That rencontrées
Masculins puissants et forts
Tous pourtant émasculés.
Guerrier Khol Kiri pousse
la porte
Souffle pour une torche allumée
Qu’il arrache du mur
Où elle était fixée.
Cette voix qui susurre
Au fond de
la psyché
Le ventre lui fait dur
Lui tient l’épée dressée
Là au bout du couloir
Dans la colline creuse
Route que Tabaladoir
Avait due emprunter
Car sur l’air le Khol voyait
La présence de son éther
Trace fraîche de
la pensée
Du Prince des Hautes Terres.

-Des vérités premières
Qui brûlent comme des flammes
Font un brasier en toi
Et voici l’infirmière
Qui t’impose le calme
L’aiguille au bout des doigts-

Il perçoit une lueur
Qui semble irradier
D’un tissu de couleur
Claire et finement veiné.
Cette porte est de chair
De la peau bien tannée
Des victimes de
la chère
Iroda ,
la damnée
Femelle meurtriére
-Tu es venu à l’appel
Comme la mouche sur le miel
Le long tentacule
S’empare du Khol guerrier
Le soulève comme
la plume
Qui fait passer l’entrée
Et le pose sur le corps
Aux courbes sinueuses
Couvert de bijoux d’or
D’Iroda la visqueuse.
Seules t’amènent deux choses
L’une comme l’autre peut te tuer
Une question que tu poses
Où ton sein libérer
Du plaisir qui arrose
Qu’es-tu venu chercher ?
Les deux je peux t’offrir
Mais il va te falloir
Ici laisser ta vie.
-Où est Tabaladoir ?
Un tentacule s’éloigne
Et rapporte une étoffe
A l’abri des perles noires
Le guerrier interroge
La visqueuse Iroda
Revêtue de
la toge
Du prince Tabaladoir
Les perles noires
Tu as trouvé les lois
Vaillant Khol guerrier
Il est heureux pour toi
Tu vas en réchapper
Alors viens, étreins moi
Sous toi fais moi danser
Au ventre d’Iroda
Libère ton ardeur.
Mon tanakola
S’enroule sur ta raideur

Pour extraire de toi
La sublime liqueur,
En échange de quoi
Dans un moment rêveur
Tu interrogeras
L’oracle des profondeurs,
Sens tu ce que j’aspire
Qui s’échappe de tes cœurs
L’amer qui s’étire
Jusque dans tes ardeurs
Le sucre de ta vie
Monte avec ton Humeur.
Khol guerrier peut mourir
Comme Tabaladoir
Et d’autres avant lui !…
Alors les perles noires
Passent lourdes comme
la nuit
Sur le Khol esprit
Et l’interrogatoire
Enfin donne ses fruits
Il s’ouvre devant lui
L’aube divinatoire,
Iroda
la visqueuse
Change de répertoire.
-Les âmes paresseuses
Sont venues au trépas
Et trainent malheureuses
Dans le monde d’en bas.
Par les chairs adipeuses
De mon Tanakola
Voilà la fin heueuse
De l’oracle Iroda.
Si le valeureux Khol
La prive de sa pitance
Que la Khol raideur
Inonde de sa semence
Récompense l’ardeur
De mes reins au labeur
O combien plus qu’instence
Tu vois Khol que je meurs
Offres moi ta liqueur
Eclate comme volcan
Brule moi de ta lave
Quelle me jaillisse au ventre
Par le bout que j’éttrangle
Je sens que tu t’arques
Je veux que tu me fendes !
D’un coup libérateur
Enfin donne ton bonheur
Tu brûles chaud comme tu bandes
J’engloutis ta saveur
Ta sève en abondance
Nourrit ma profondeur.
En fuis toi maintenant
Où je t’aspire les cœurs
Encore les perles noires…
Iroda s’endormit.

Le guerrier s’en éloigne
Ses deux cœurs battent fort
Puis la toge il empoigne
L’arrache du corps qui dort

Et court vers le couloir
Retrouver le dehors.
Son frère et les Salermes
Attendent, prêts à partir
Pour la contrée du Kerme
Rencontrer Parondir,
Le grand observateur
Dont le grand regard pur
Voit jusqu’au fond des cœurs.
L’essor de leurs montures
Les porte dans
la noirceur
De la nuit qui régnait
Se dirigeant au sud
Les guerriers voyageaient,
Cette mission qui dure
Point ne leur déplaisait.
Le poète guerrier Khol
Des vers envisageait
Et aux caresses d’ Eole
Poésie il dédiait.

Krah ! nous sommes deux frères.
Bien grand honneur nous firent
Les huit sombres seigneurs
En désignant nos faces
Pour voyager quérir.
Gravant nos carapaces
De leurs ongles saphirs
Les sceaux du grand labeur.
Nous avions profiter
Souviens toi Khol guerrier
Comme coulait
la lateur
Qui rend les idées folles
Si bien que
la rivière
Ne put les rendre bonnes
Qu’après de longues heures.
Krah !
La cité Khala
Qui en tremble encore
D’avoir vécu nos pas
Krah ! Le premier envol
Vers le Cupidon fol
Son empire au trépas
Sur la route des Khols
Krah ! L’oracle invincible
Dans son repaire immonde
Qui répondit docile
Offrant sa croupe ronde
Comme visqueux calice
Réclamant de la vie.
Profonde elle se faisait
Sous l’abondant service.
Krah ! La nuit qui nous voit
Sous sa paupîère d’obscur
Voler et repartir.
Le bras fort et l’œil pur
Aux terres de Parondir
Trouver Tabaladoir
Dans le monde d’en bas.
Ils volaient encore
Quand naissait le matin
Du jour quatrième
Quand on crie à babord
Arrivaient en essaim
Effrayant, les salermes
Qui entraient aux abords
Du territoire des vainins.
Ils étaient des milliers
Venant de chaque coté
Et en venait encore
Une nuée sur le tribord.
Les Khols plongent tout droit
Au cœur des nuages.
Ils savent qu’à leur endroit
Les vainins sont sauvages
Depuis que leurs deux rois
Furent vaincus par les mages
Des sombres territoires.
Le vol rapide des salermes
Vit la poursuite trouver un terme.
Les vainins perdant tout espoir
La rage hérissait sur leur derme
Leurs plumes et leurs poils.
Leur caractéristique érythème
Transformait leur face en vieille toile.
Le vol  tendu des salermes
Emportait les guerriers Khols
Par delà les monts Nodols
Pays des gardiens Jakars
Dont l’appel venant des cols
Attirait vers leur traquenards
Les voyageurs de Hasard
Qui, les voyant, devenaient fols
-Leur chant était une complainte
D’une douceur qui rendait molle
La volonté perdant toute crainte
Elle se laissait prendre dans l’étreinte
Descendait parfois jusqu’au sol
Y recevait un tel accueil
Qu’elle restait là, faisant le deuil
De la raison même de son vol.
-Le passage au chemin du Chevreuil
Dans cette région en trompe l’œil
Est plus sur que tous les survols.
Les salermes eurent forte tendance
A descendre et descendre encore.
Mon frère perdait leur dépendance.
Il luttait, faisait grand effort
Pour garder sur son propre corps
Une certaine influence.
Je répondrais à leur chanson
Par quelque rimes allitérantes
Qui perturbèrent leur émission
Le temps de pousser nos montures
Pour que survive notre aventure.
Ils arrétèrent à l’unisson
Pour quelques instants qui furent
Pour nous merveilleuse occasion.
Et s’allongeaient à l’horison
Les villes du grand Parondir,
Leurs ogives brillaient dans le ciel
Faisant scintiller le panel
De leurs couleurs au Nadir
Du vieux That, notre soleil.
Survolant les plaines senelles
Les Khols sentent leur cœur bondir
Et tous leurs muscles frémir
Nos noires carapaces charnelles
Brillaient de reflets roux.
Le plumage de cuivre des salermes
Sous les rayons rouges…
Brillant équipage de lumière
Venant du plein des bouges
Des navires lourds d’espoir.
-Tabaladoir est au monde bas.
Ses jours approchent où de l’eau
Du ventre d’une femme d’en bas
Il arrivera au berceau.
Les Khols guerriers braves
Devront changer de monde
Pour continuer esclaves
De leur dure mission
Vos faces sont peu communes
Au monde où vous irez
Il est plus sur d’en changer.
Adopter sous
la lune
Des corps étrangers.
Il viendra dans les dunes
Un bien joli bébé
Il est Tabaladoir des Junes
Mais l’aura oublié.
Vous saurez sous sa plume
Le lui rappeler.
D’importance, le temps n’en a aucune,
L’essentiel est de ramener
Dans son esprit le souvenir
De la terre des perles noires ;
D’où sont nées les choses les pires
Mais aussi fabuleux espoirs
Où se côtoient les créatures
Sorties des plus laids cauchemars
Et des êtres d’essence pure,
L’harmonie là, n’est pas hasard.
Là se vivent les grandes aventures
Du monde des perles noires.
Dans le froid et ses morsures
Au brûlant des terroirs
Qui en font la bordure.
Tout ce qu’ici avez pu voir
Vous le reconnaîtrez c’est sûr
Aux terres du monde d’en bas.
Vous le trouverez dans les rues
Parmi des hommes si las
Qu’ils ne veulent de
la lutte
Si elle ne rapporte pas !
Vous marcherez parmi les morts
Qui remuent pourtant jambes et bras
L’étincelle dans leur corps
S’éteint ils n’en veulent pas
Ils existent pourtant encore
Mais leur souffle n’apporte pas
La chaleur à leur désir.
Ils ont peur du grand partir !
Et font tout pour qu’il ne soit pas
Vous serez parmi des morts
Et peut-être n’en reviendrez -vous pas.
Khols guerriers très forts
Ici vous ne nous manquerez pas.
Votre race n’a pas la cote.
On vous craint comme le Kara
Même si à notre porte
Jamais ne viennent vos pas.
Vos pouvoirs ici transportent
Des légendes et des histoires.
Vos noirs barons ne sortent
Jamais de leurs territoires
Que pour rendre à ceux
Qui les mandent parfois
Un service ou deux.
Dans le mercenariat
Ils s’affirment et c’est un jeu
De maître ils n’ont pas.
Des amis peu nombreux.
Pour être l’ami des Khols
L’étrange sens de l’honneur
De votre culture folle
Ne doit point faire trop peur !
Vos vie n’ont pas d’envieux
Existences pleines et folles !
N’oublie rien guerrier Khol
Mène ta mission au mieux
Ton Khol et Kiri frère
Laissera de vos vies
Des chants pour les trompettes
Dans les temps à venir,
Khol guerrier et poète
Il saura faire écrire.
Ce soir avant
la nuit
Vous nous quitterez par
la crête
Des territoires insoumis.
Vous continuerez
la quête
Du retour de l’oubli
Au mode des morts vivants
Sous l’étoile soleil au pays du levant.
Khol guerrier et khol Kiri
J’ai tout dis maintenant
Vous avez tout appris

Je me souviens … et monotone comme l’étendue du sable de Virga, monte la complainte dans mes veines et tous les canaux de mon corps transporte le rouge espoir, entrainé par l’émotion, des aventures du poète Khol guerrier… Quelque chose a touché les planches du radeau et soudain une légère poussée, sur l’esquif resté inerte sur la lagune.
La « dinage » aux yeux tristes repousse toujours vers ailleurs, tout ce qui flotte dans les parages de sa profonde tanière.C’est ainsi que sur le sable fin noir et gémissant, je trainais bientôt ma lourde carcasse.
Des vérités premières
Qui brûlent comme des flammes
Font un brasier en toi
Et voilà l’infirmière
Qui t’impose le calme
L’aiguille aux bouts des doigts.

Le bator était debout devant la paroi de roche transparente et regardait l’île.

        Treboî mon frère Volgan, feu sur l’océan glacé de Gui dans les spires du Fatu , la vérité n’est pas, elle devient.

        Wam venait d’apparaître dans la demeure de son maître, elle se plaça derrière lui et posa ses coudes sur son dos, à la hauteur des omoplates, entre eux, et répéta les phrases qu’il venait de livrer au Thala

        Tu es resté tout ce temps, territoire immergé des vapeur de Shabba –

        la femme dans son dos se mit à vibrer en respirant de plus en plus fort. Elle continuait pourtant le massage de dépollution

        Ton respir allège l’insaî de ton inquiet seigneur- Son timbre avait changè. Elle fit le tour du torse avec ses bras, appliquant ses mains sur la poitrine de son maître , appuyant le menton sur ses vertèbres, remuant la tête pour masser chacune

        Charitable poudre de Gallam, soufflant la vie aux Lions de Phane –

        Elle termina le massage,et

        l’objet sans valeur que mon maître valeureux utilise comme esclave, a vu le guerrier clair que cherche son seigneur magnifique-

         Que me restera-t-il gerbe de stanxis dans la noirceur profonde, quant à prendre de tels risques je te perdrais? Devrais-je me dépolluer moi-même ? Lumière dans les yeux de Maat l'aveugle.

         mon trop généreux Phadim distribuant les rayons de Cilhar aux cinq spirales de Spa, apporte trop de crédit à ma méprisable existence. Le guerrier que tu cherches était tout près de ton insaî –

         Ne connais-tu pas la peur ? Serait ce un kark femelle qui me servirait ?

        La colère de mon maître est trop douce pour que son esclave craigne d’affronter le kark femelle à mains nues seigneur –

        Le flair du wallon et l’âme de la princesse Chila de Tir, tu lis en moi, tel le pilote Daram dans les champs de Bardol à Phalla , l’œil précis du pilonneur Dakin, et la furtivité du volgan au combat , sont à mon service … J’en ai bien besoin.
- La vie misérable de ton esclave doit être le tapis du roi Parons des
spirales, sous le pied du fabuleux maître qui nous fait l’honneur de déposer son regard d’étoiles sur la poussière qui ne fait qu ‘une partie infime, de son devoir. La présence Slom est négative sur cette planète. Tu as ouvert le Chââ, trouver le guerrier est le rôle de ton esclave seigneur ; présence du tonnerre sur les plaines maudites de Yres
la noire.
- Ce monde ternit la clarté de ton valeureux insaî, les formes les plus
abjectes s’y sont développées et croissent en toute quiétude. Les esclaves n’aiment pas leur maître ! La contrainte étend ses ailes sur la totalité de cette espèce. Ces humains n’ont pas l’apparence de leur Chatam, leur nature est inversée par l’abus de l’émotion., leur cœur court moins vite que leurs pieds, leurs désirs sont aux mains des créatures du Thalla, qui règnent là en maître. Le guerrier que je t’amènerais est un être qui se bat sans connaître la cause, sa valeur est immense, il est le joyau des dix pierres du palais de Oouth, il est prêt, il cherche et ne s’arrêtera qu’avec l’arrivée de la main du Choa pressant Apilon dans sa poitrine.Ton esclave  ouvrira ton chemin et  sèmera tous les brillants soleils jusqu’à lui, maître ; où elle répandra sa vile essence , sur le sol de cette planète. Si tu fais le travail de ton esclave, tu jettes la souillure de ce Thalla sur ton Chatam sublime seigneur, les crocs du Thalla chercheront ta chair précieuse, la raison même de l’ existence de ton esclave … Je saurais te désobéir et être foudroyée par ton regard puis répandue aux confins des univers sans nom – L’esclave se leva , salua son maître et commença à se dématérialiser

         Douceur de la griffe du Gac, faisant du corps des chasseurs, de fines lanières dans le désert du Rikh… Devrais je t’offrir comme épouse à Ta-Fax
de Léma aux forêts cathédrales, pour qu’il te rappelle que tu sers un E.B.U ?-L’esclave réapparaissait et se jetait aux pieds de son maître . Le bator reprit

        si tu me laissais te l’ordonner ,herbe des dunes sauvages de Shabba, tu bénéficierais de l’aide puissante de tes semblables au service de mes frères, impétueuse gazelle aux cornes acérées

        - mon maître …

        - Entendre ta voix de nouveau me comble délicat bourgeon de Fral

        - Mon maître accorde une importance toute particulière à son esclave redoutable seigneur

        - toute particulière brillance de Spa …ce guerrier dans toute la splendeur décrite par mon esclave méritante, lumière dans les yeux de Maat l’aveugle, a t-il suffisamment de distance avec le chatam commun de sa race, pour accepter ce qu’exige la cause ?

         – Mon maître est sage, plus sage encore que ceux dont je ne peux prononcer le nom, une esclave serait pour ce guerrier d’un secours indéniable,seigneur rayonnant sur ma misérable existence -

Puis elle ajouta

         – puisse puisse ton chatam pardonner l’aveuglement dont fait preuve ton.

        – ne pas se qualifier correspond à une insulte envers soi-même , cette forme d’expression est propre aux esclaves. Elle regrettait de n’avoir pas plus de sagesse pour mieux servir le Bator . Elle allait rester là près de lui pour qu’il éclaire par sa seule présence son esprit d’esclave. Le manque de sagesse avait été la cause de sa volontaire condition d’esclave. Elle y cherche le pouvoir de se pardonner , de tout ce que cela retirait à sa race , et aujourd’hui elle avait encore moins de raison de trouver ce pardon …

        - impétueuse gazelle…- Le Bator était très satisfait des services de Wam et à l’instar des autres EBU il considérait avec beaucoup de respect les Elins esclaves prêtes à donner leur vie pour leur maître et tout ce qui était leurs ACTES.

Cependant le naufragé découvre
Les contrées citées par le grand
Parondir aux Khols guerriers
Il découvre qu’à ce monde
Un enfant égorgé dans les bras
De sa mère
Fouille moins les sentiments
Dans ces pays austères
Que le poids de l’argent
Ne pèse sur leur misère.
Il y voit trace du geste
Des sept prédateurs.
Et sur la chair d’un arbre
Il ecrit, l’œil sous les larmes.

_ Pour vouloir en ces lieux
Jouer aux explorateurs
Il vaut mieux être deux
Car l’avarie mineure
Pourrait gâcher sérieux
Le reste de tes jours
Alors va si tu veux
Mais pas sans ton amour.

Il connaissait le sort que vécu Cupidon après le Khol passage.
De son corps d’amour, il savait le partage.
Sur ce sol, il pouvait lire dans les rides des hommes la traduction locale de
l’insinueuse et funeste invasion. Par les troupes des sept glauques..

Par le Cupidon fol
Le terrible carnage
Qui s’opéra bientôt
Aux terres très rivages
Les humains aux yeux clos
N’y lisaient pas présage.
Vanity fit très tôt
Grand cas de ce partage
Ravie de ce cadeau
Elle en montra l’usage
Aux vils Spadassins
Attiré par l’outrage
Cupidon sur son sein
Après avoir lancer sur sa belle étreté
Des regards de putain
De ses longs cheveux noirs
Elle lui fit des liens
Pour que ses noces le soir
Furent enfin célébrées,
S’attachant son pouvoir
Le trainant dans ses raies
Accouplée à l’avoir
A la part de ses chairs
Comme à un sacerdoce,
Elle fit naître des enfers
Aux terres sans horison
Des humains sur
la terre
Sa fille exibition
Superbe dans les miroirs
Reflétant sa passion
Pour le grand désespoir
De la belle raison
Dont les hommes en basse terre
Oublièrent les saisons
Livrés par grappes entières
Aux futiles raisons
Vécurent de grandes misères
Du fond de leur maison
Aux sept portes de chair
Ils s’offrir en sacrifice
A la limace envie
Qui à son bout d’amour
Tenu comme à sa vie
Dans son désir d’autour
Les fit s’agenouiller.
Sur les ailes des vautours
Elle les fit voler
Et plonger sur la terre.
Dérober au pays
Pour emplir le cratère
Profonds de leur « envie »
Ils emplirent les cimetières
Sans trêve ni répit.
Avec sa part d’amour
Luxuria fut la reine.
Ouvrant grand comme un four
La source perrène
De leur instinct fidèle
Du sensuel dans leurs veines
Dans leur sang, sans détour
Enfin les sept unis par l’amour
Qu’ils avaient débrayé
Sur lui se sont vautrés,
Vivent leurs plus beaux jours
Dans la chair de l’humanité.

Le naufragé marchait depuis des jours lorsque dans la forêt luxuriante il vit monter entre les arbres une colonne de fumée, elle s’élevait droite dans l’air bleu.Après plusieurs minutes réflexions il  décida de se diriger vers cette colonne de fumée.

        Le pas furtif, il s’approchait de la clairière et attendit sous le couvert des larges feuilles vert brillant. Près de la petite case de terre rouge au toit végétal, une femme assise dans un hamac roulait dans ses paumes une feuille, la feuille d’une plante dont quelques pieds étaient mis à sécher sur un claie à l’ombre d’un petit appenti. Elle avait ensuite allumé avec un tison qu’elle était aller chercher dans le feu qui mangeait doucement quelques mauvaises herbes et était revenue de sa démarche hautaine s’asseoir sur le hamac, elle fumait, et se mit à chanter. Sa voix ressemblait à sa démarche claire, détachée, royale . La peau du naufragé frissonna quand il l’entendit la femme aux pieds nus avait la couleur du ventre du pain cuit, et ses gestes semblaient être une danse ; il la regardait s’allonger dans le hamac, il la regardait et écoutait son chant lancinant et plaintif. Si la reine Selinéa de Pirus de Gom est ici, parcourais-je son Ifam sacré sans le savoir ? Il s’interrogeai mais sa mémoire n’était que caprice. Il cessa de penser et écouta les paroles de celle qu’il avait reconnu, comme étant la reine des Sipurs.

L’herbe que tu interdis
Son pouvoir tu le crains
Car tu sais qu’avec elle
Le peuple peut réfléchir
Et les idées nouvelles attirent le péril
Sur tes lendemains
Alors tu serres les miches
Toi qui vis de
la gabelle
Et des cals dans nos mains,
Nos peines font une flaque.

L’herbe est une rivière
Qui coule sous mon hamac

       
L’herbe entraîne nos idées
Dans les voiles d’une fée
Qui n’aime pas
la sueur
La sueur que fait couler
Sur le front de nos frères
Le poids de tes péchés
Qui réduit en misère
Leurs espoirs éthérés
Qui tapissent ton claque.

       
L’herbe est une rivière
Qui coule sous mon hamac.

L’herbe fait vivre les rêves
Mais tu dois l’interdire
Car un peuple qui rêve
N’apporte aucun crédit
Au malheur que tu sème
Au fond de son esprit.
Tu as besoin d’esclaves
Pour bien dormir
la nuit
Tu dois tuer les braves
Eviter le ressac.

     

      L’herbe est une rivière
Qui coule sous mon hamac.

Tu as les serres de l’aigle
Un mental de fourmi,
Tu peux briser les ailes
Tu peux laver l’esprit
Avec une ribambelle
De brillantes conneries
Et nous on tient l’ombrelle
Au-dessus de tes frasques.
L’herbe est une rivière
Qui coule sous mon hamac.

Il avait écouté complètement sous le charme de la reine aux pieds nus, quand il l’entendit- Pourquoi te cacher homme ! Le respect que tu m’adresses est tout à ton honneur… mais bien supérieur à mon rang. Elle s’était levée tout en parlant et se dirigeait vers la case de terre au toit végétal.

Wham dans le Thalla de la planète terre voyait venir à elle une multitude de candidats tous pris au filet du remord, Grand pêcheur d’esclaves s’il en est. Ils formaient une marée de formes verticales, des chatams par milliers se présentaient à elle, recherchait le service pour se pardonner était leur seul but- ces humains sont plus épris de liberté que les voyageurs de l’univers de Gom. Pourtant leur multitude devant moi à réclamer le service ressemble aux marées sur les plages Shabba de lam, la demeure de mon seigneur magnifique , si mal servi par son …Elle ne se pardonnait pas son manque de sagesse, comment pouvait elle avoir omis de penser que le guerrier innocent devait avoir à son service une esclave ; lui ! Le bator terrien … Le chatam de l’esclave cherchait dans la masse des volontaires celui qui serait l’idéal serviteur du bator terrien , du guerrier innocent .
- Le corps noir de la naphte s’est couché sur les pavés de Rome –

        Sans arrêter son travail Wam répondit-

        Sur quoi sont assis les pavés de Rome ?

         Ta présence ici fait plus de bruit que la charge des cavaliers des sables

         Il est des mondes où t’attendent des noces avec la chair soldat-

         Se disant elle ouvrait et ouvrait devant l’âme errante, les spires du Thalla. Le romain compris que sa présence dans le Thalla brutal de la terre n’avait plus de raison d’être et accepta le fait que ses noces avaient pris fin.,qu’il était mort. Dans l’instant il disparu de ce point du Thalla. Wam n’avait cessé son travail à aucun moment et reçu avec un grand plaisir les sentiments de remerciement du soldat romain

- Pars vers des noces nouvelles . La conscience mère est ton alliée dorénavant ami- l’esclave venait de restituer à la conscience mère un de ces élément de mémoire ,elle y était astreinte de part son statut d’esclave de l’un des époux de la conscience mère , un Elin bator universel, un EBU.
Wam re

Par poetiqulovescort
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Samedi 10 novembre 6 10 /11 /Nov 01:14
vingt.quatre@hotmail.fr

...ce n'est pas autant à l'autre qu'à Amour, que tu te donnes . Sois pour lui un présent somptueux . Donne lui l'envie de te vivre ! Ainsi seulement tu sauras aimer l'autre.
                                                                    

                  Les muscles concernés
par la pratique des "ailes de l’ange", sont: les muscles qui dessinent les dunes, celui placé entre l’anneau soyeux et la racine de l’arbre, ceux de l’arrière de la cuisse, et selon les positions adoptées, ceux la partie basse de la plaque abdominale.

Les muscles du dos qui permettent la mobilité vers l’arrière du bassin n’interviennent que lorsque l’on désire associer cette "gestuelle nouvelle,"  à la pratique ancestrale du va et vient.

Les muscles fessiers sont les plus massifs de notre corps. L’énergie émise par leur contraction brusque et sans commune mesure en puissance avec celle obtenue par celle des muscles du ventre utilisés habituellement par le partenaire masculin pendant le service.

Cette constatation est plus aisée lorsque couché sur le ventre l'on contracte brusquement les fesses.

Là est le fondement si j’ose dire, de la pratique qui m'est personnelle et que j'ai nommée "ailes de l’ange".

Lorsque dans la même position l’on contracte aussi les muscles de l’arrière de la cuisse, nous constatons une répercussion plus forte vers l’avant, du choc émis par la contraction brusque des fessiers. Ceci est du au fait les muscles de l’arrière de la cuisse une fois contractés absorbent moins de la puissance du choc. L’énergie émise se dirige dans l’unique direction qu’elle peut prendre ; l’avant du bassin et plus précisément la racine de l’arbre masculin lors de sa rigide détresse.

Le tronc érigé, devient le seul chemin que peut emprunter la plus grande part de l’énergie émise. 
            Si entré dans la profondeur enivrante au point que la tendreté du fruit mâle en atteint le fond, chaque choc le fais s’y écraser.

Cet effet est accentué par la forme de pointe du cœur de l’arbre ,qui comme un coin applique la poussée au cœur de la pulpe du fruit mâle .Cela l’évase au fond de la douceur femelle.
           j'ai observé cependant qu'il est avisé de chercher par un tâtonnement minutieux ,les endroits les plus réceptifs de la gorge onctueuse ; et de les visiter par ces  battemments  d'ailes, à la demande plus ou moins exprimée de l'ange au ventre offert.

            
                 Le souffle
est d’une importance capitale. Pour éviter la tétanisation lors d’un travail prolongé .Des muscles de cette importance ont besoin de plus d’oxygène ; ne pas négliger l’importance de la respiration .  Je conseille  donc d’adapter sa position respiratoire à l’usage de son corps pendant le service galant.   
 

 

                  la force et l’endurance des muscles fessiers s’acquière comme pour toute chose à laquelle nous ne sommes pas habitués  par l’observation et l’entraînement.

Si nous portons notre attention sur les conséquences des contractions vives des fessiers nous pouvons sentir la répercussion de l’énergie du choc vers l’avant. 
            La répétition et la fréquence de ces chocs est directement liée à la capacité du pratiquant à utiliser ses muscles. Pour certains il est aisé de faire mouvoir cette partie du corps indépendamment de tous les autres muscles, pour d’autres l’affaire peut paraître mois aisée.

            Par la pratique des exercices propres au développement des muscles fessiers, on acquiert automatiquement un contrôle par la volonté de ceux-ci.

            Bien des femmes connaissent les mouvements qui entretiennent fermeté et rondeur à leur paysage. je ne m’étendrai donc pas plus sur la nature d’exercices qui traitent spécifiquement du travail d’entraînement des fessiers. Toutefois il me semble nécessaire de faire constater que la journée d’un homme lui offre des possibilités de faire gagner en force et en endurance cette partie de son anatomie. 
              Les trajets en auto et toutes les positions assises, les stations debout devant une machine, gravir les marches d’un immeuble en chantier avec des charges, marcher àvive allure en poussant sur l’appui final au sol du pied par la fesse. D’une manière générale l’observation permettra de sentir le muscle au travail et préviendra les faux mouvements capables de faire blessure au corps.    

 

 

                        La désynchronisation des parties gauche et droite est une des actions majeures de la pratique des ailes de l’ange. je recommande donc d’y apporter un soin particulier dés le début de la période d’entraînement qui vise à atteindre force et endurance. 
                Pour s’exercer à faire travailler indépendamment l’une de l’autre ces deux parties, il et encore fait appel a l’observation ; la position allongée sur le dos est celle que je trouve la plus appropriée pour écouter les réponses des muscles à la volonté dans ce cas précis. 
                Contraindre chacun des fessiers à se tendre au rythme que l’on souhaite en commençant par les plus rapides pour  décroître vers la lenteur offre à mon avis une sensibilité plus prononcée et une possibilité d’écoute plus grande aux contactions les plus lentes. 
                 Comme pour le travail physique en général il est sérieux d’éviter les traumatismes liés à l’usage brutal d’un muscle froid

 

                          Le rythme est l’outil de prospection des soupir fleuris de l’épousée d’une vie ou d’une nuit. 
                  Les rythmes permettent de savoir sur quels registres le corps de celle qui nous fait la grâce de s’offrir, est le plus adapté pour cela. 
                  Pendant l’entraînement qui précède la mise en application les ailes de l’ange, l’on a pu observer que le passage de la contraction rapide à la lente, se fait en souplesse d’elle même mais que l’on peut la rendre plus abrupte, le changement brusque provoque une réponse de la par des terres investies, ces réponses sont de natures très physiques.       

                   Pour certaines femmes les soupirs peuvent être des aveux qu’elles n’ont pas envie de faire. Tout comme l’indiscrétion des cris et des gémissements peut les contraindre au silence, et diminuer de la sorte leur enthousiasme ce qui bien entendu réduit souvent d’autant  leur capacité d’envol !… et c’est dommage. 
                    Il est cependant une  réponse plus discrète .Celle du ruisseau de ses reins, qui entre en période de crue ou d'étiage selon que la terre est retournée d’une façon ou d’une autre par le soc viril… et cela aucune femme bien disposée ne peut ni ne veut le dissimuler. 
                     C’est donc par la variation de la rythmique que le laboureur dans l’ombre saura comment mener la paire de son attelage. Sur ce point je suis trop peu expérimenté pour oser affirmer que chaque sillon répond à tel rythme. J’ai tout de même avec le temps acquis une expérience raisonnable quand à la récurrente bienfaisance de certains rythmes. Mais surtout que le fait d’en changer au moment opportun reste la meilleure façon de servir.
                      Pour ma part je ne connaît satisfaction que lorsque la belle rebondit trés vite d’un bonheur à un autre pendant mon maigre service. Je ressent  comme une obligation de lui faire visiter tous les recoins des jardins de maître plaisir, toutes les étoiles brillant sur la suave toile de son ciel de fille et celles qui ne brillent pas encore, à cause des principes …le franchissement de cette barrière morale représente parfois  un tel ouvrage qu’il ne me faut  pas ménager la poésie, la patience et l’effort !  
                      J
’ai exercé, mes ailes du plus que je pouvais, car les anges qui les utilisent aiment voler loin et longtemps… !     

                           Les rythmes rapides peuvent être produit à une fréquence très élevée allant jusqu'à plusieurs dizaines de chocs par minute. au delà on parvient à la vibration correspondant à six voir dix microchocs par seconde. S’approcher des fréquences d’un jouet d’amour électrique, demande un réel contrôle musculaire de la part du serviteur. 
              Je peux toutefois pouvoir affirmer que ce rythme est l’un des plus prisé ! Il est, malgré ce qu’il semble réclamer d’effort, le plus facile a obtenir. La crispation maximum de l’un ou des deux muscles fessiers suffit à aborder ce rythme d’une manière acceptable pour l’homme au bombé nerveux.  Plus contraignantes à obtenir sont la stabilité est la durée !

               La contraction extrême entraîne avec elle la tétanisation du muscle, et tout ce qui en découle…  je constate que  de solliciter le muscle juste au dessous de la contraction maximum permet une plus grande liberté j’attire l’attention du mâle au intentions bovines sur la nécessité  d’avoir fait en amont un tant soit peu du travail décrit plus haut d’écoute de son corps !

                Il existe entre mes muscles et mon cerveau ce qu’il est possible d’appeler de la complicité et cette complicité est au service de l’ange assis sur moi. 
                Ce n’est pas par hasard que je prends l’exemple de cette position, car elle m’a souvent été imposée au sens propre par plusieurs femmes au début de notre rencontre.

                 La confiance toute limitée en leurs partenaires acquise au cours de leur expériences, les incitent tout naturellement à  « utiliser » l’orgueil érigé au ventre de l’homme de la façon qui leur convient le mieux et elles se trouvent contraintes de chevaucher le supposé incapable !

                 Ce sont ces femmes que je nomme les « femmes chats »…je n’ai de plus grand plaisir qu’à les voir redevenir des anges et  se dissoudre l’inquiétude dans leurs gestes quand je donne à mon service  le goût de la responsabilité. 
                 C’est de cette position assise qu’elle entre à nouveau en confiance et pour cause c’est dans cette position couché sur le dos qu’à la fois je vibre le plus précisément et qu’elles choisissent le plus facilement l’endroit ou peut s’appliquer la vibration ! 
                                
Les rythmes lents
donnent par la force qui les caractérise une dimension différente au viril labeur. Les muscles pour obtenir l’élan doivent se décontracter beaucoup plus entre deux contractions. L’énergie disponible varie selon l’état des muscles concernés 
               L’assaut douloureux pour la belle est très facilement atteint dans les positions qui la proposent profondément. Dans ce cas le service peut rapidement être considéré par la prétendante à l’envol, comme une vigoureuse punition !

                 La fréquence baisse d’autant que de la force est demandée ; comme on dit elle est inversement proportionnelle.

La nervosité des muscles peut redéfinir cette dernière notion sans toutefois la rendre totalement caduque.

                 Les rythmes lents seront pour bien des hommes, l’affirmation de l’instant mâle la conquête par plus de vigueur de tout le femme terroir ! C‘est parfois  vrai …
                 les rythmes lents sont à considérer par les mâles les plus prompts à l'extase, comme étant dotés d'un pouvoir  un peu moins riche à retarder la crémeuse délivrance. Les rythmes approchant des fréquences obtenues par la gestuelle  rénale, ont cette particularité; ce qui n’est pas le cas des fréquences de moyennes à hautes .

                Toutefois les rythmes lents sont aussi une musique silencieuse si l’on en visite l’étendue des de façon harmonieuse. 

                       L’association des rythmes lent et rapides expriment la variété dans la pratique des ailes de l’ange la désynchronisation musculaire est la fondation sur laquelle s’appuie cette déclinaison du mâle service. 
                Les plus persévérants, ceux qui veulent donner à l’alcôve des allures de feux de forêts ou brûlent les arbres de l’ennui seront récompensés de leur efforts à l’approche du véritable joyau qu’est l’association des rythmes ! il suffit pour ceux qui écoutent de la musique de percevoir les gestes du joueur de batterie pour avoir une idée de ce que peut être capables de variantes complexes la symétrie du corps humain, et de transposer cela à l’usage des muscles fessiers. 
                Je n’ai encore rencontré aucune galante qui n’a une violente propension à s’arracher du sol malgré mes faiblesses, dans la pratique majeure des rythmes associés.

La musique est évidemment d’une aide sans égale pour l’évaluation le choix et la pratique de tous ces rythmes. Il m’apparaîtrait offensant pour la liberté des lecteurs de ce manuscrit, après avoir porté le point sur les rythmes et la désynchronisation de décrire la façon dont il convient de créer ses propres mouvements ! Chacun selon les besoin de son service et ses goûts musicaux sera à même de choisir ce qui lui convient le mieux.

                Pour ma part j'opte pour des musiques aux tempos rapides car elles me permettent plus de souplesse avec l’expression lente et forte  d’une  de mes ailes , tout en présentant à la fois la possibilité à l’autre de monter et descendre sur la gamme des moyennes à hautes fréquences ; ainsi que de changer l’expression  de coté ce qui permet une plus grande durée  par le « repos » pendant les hautes fréquences de l’une puis de l’autre aile.        

                 L’orientation du bassin comme avec la technique du va et vient, est prépondérante pour solliciter les plus sensibles, parties du jardin délicieux Par l’orientation d’un basin souple et moyennant quelque pratique il est peu de gestes amoureux qu’un employé zélé ne puisse réaliser pour les exigences de ses fonctions.       

                  Les endroits externes du corps de la baigneuse, sont autant d’invitations au butinage enflé du bout des lèvres de la part du fruit mâle. Tout comme le sont le petit gardien qui risque une émergence curieuse de dessous sa capuche de soie et qui peut rêver d’une foule de petits baisers vibrants du pied à la tête ! Et aussi peut-être, la rose brune qui fleuri de crainte exquise ou de gourmandise exacerbée, entre les mont frémissants …l’usage des muscles fessiers permet à ces lieux de délice, l’application de caresses qui restent impossibles sans occuper d’autres organes de l’homme ; lequel pendant sa cérémonie au trône du plaisir a besoin de ses mains et de sa bouche, pour visiter de caresses d’autres contrées du femme paysage. 

                 Les rythmes rapides ou lents là encore seront à déterminer avec le soin qui caractérise une cérémonie respectueuse issue de la galanterie masculine moderne.

                   Dans les intérieurs accueillants, lorsque la posture adoptée le permet il est une grande marque de respect que de faire vibrer la nuque du fruit viril sur le petit plafonnier qui orne la voûte de l’entrée du cloître.

Tout comme pour la cavale qui affectionne la caresse profonde et ne se sens possédée qu’en recevant les baisers du fruit d’homme sur le lustre pendu au fond de la chambre royale qu’il est de bon goût alors de faire tinter au rythme de son choix; sous lequel,  avec prudence il est heureux parfois de hasarder une nuque saturée des preuves du fort désir, et d’y émettre selon les vœux que l’on peut lire dans son souffle et dans la crue subite de son ruisseau de feu,  une douce vibration ou une correction brutale ;propre à lui suggérer de ne jamais se lasser de se commettre dans des actes de séduction envers les serviteurs dévoués que nous sommes et devons rester !

                L'enfilage de la bague des épousailles barbares est l’une des épreuves les plus délicates par la pratique de nos nobles ancêtres. Elle devient par l’usage habile des ailes de l’ange, un instant d’abandon pendant lequel la bague au plissé sombre à tout le temps de comprendre qu’elle doit se presser humide tout contre l’intention à la forme fruitée. Comme si elle s’apprêtait à rendre à la nature ce dont le corps n’a plus besoin. Et attendre que la vigueur qui tapote à son huis, profite d’une l’invitation si joliment formulée. 
                L’entrée se fait alors en lente douceur vibrante et les frissons qui signent le début de la magnifique insolence peuvent être goûtés par tout le corps de l’épousée…les muscles de l’homme au travail obéissent comme une bonne paire de chevaux rompus a l’attelage et elle aura le bonheur de connaître un martelage ferme de leur sabots ou une galopade vibrante qui résonneront partout dans son instant  offert au bonheur !  Je donne souvent une généreuse correction à l’anneau soyeux après m’être assuré que c’est la volonté de la maîtresse qui me confie son étroitesse. 
                S’il suffit pour illuminer son moment de confiance, d’une courte et vigoureuse course autour de laquelle elle tient serré la rondeur tendre de sa bague, Je trouve inutile de plonger au fond de sa nuit brune, Il est plus aisé de multiplier les départs somptueux de la belle en évitant les longs allers retours qui deviennent insupportables après que maître plaisir ai un peu relâché ses rennes.

                 Dans ce cas encore le bassin de l’homme devra trouver par son orientation, les notes harmonieuses dans les soupirs et la voix de la femme au chant d’amour

L’association des ailes de l’ange et de la gestuelle rénale née de nos ancêtres offre un compromis intéressant pour bien des raisons avec un peu d’habitude les deux peuvent être pratiquées au même instant. La forme hybride que prend alors le service stimule bien plus le fruit viril que l’application de la pratique des ailes de l’ange seule ;   Les ailes de l’ange sont la "suite", du va et vient  tout comme la course est la suite de la marche!. Une accélération qui permet à l'ange de savourer pleinement des instants d'envol prolongé .

               Son plaisir n’est plus dépendant de l’émission de la nacre liquide, car le serviteur n’est plus autant sollicité que lors de va et vient éprouvants pour le sensible fruit de son arbre.

               De plus par la concentration utile à la pratique des ailes de l’ange l’esprit masculin reste plus attaché au service qu‘au profit.

               Pour augmenter leurs sensations je demande toujours aux distraites trop passives, de serrer ma vibrante caresse, d’augmenter leur pression pour compenser ma regrettable incapacité à les distendre. 

Je suppose, que c’est sans vraiment me pardonner cette faiblesse supplémentaire, qu’elles s’exécutent, avant d’expirer soudainement l’ennui laissant aux soins limités de leur serviteur l’intendance de leur brusque départ vers un ciel étoilé…           

               Il m’est nécessaire d’ajouter que la contraction du même muscle chez l’homme transmet bien mieux toutes les impulsions de ses ailes.

               Tout comme je dois ajouter si besoin en était qu’une femme peut très bien utiliser cette pratique pour peu qu’elle s’équipe.

               
              

Par poetiqulovescort
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